Rouges de colere, on se regarde.
On attend. Respiration haletante. L’un des deux lache les trois mots tabous « On se separe ? ». Cela ajoute « ce n’est plus possible entre nous, tu le vois ? Et quand on separait ? » .
Et si l’on pouvait i nouveau [a defaut de la vaisselle] sauver des meubles ?
Dans une agence consommatrice de vetements, nourriture, plaisirs immediats et de lobotomie [oh joie d’une television !], on peut serieusement se demander ce qu’il advient de des amours…
Nous le savons, nous avons perdu une certaine naivete romantique, mais O combien salvatrice afin d’effectuer perdurer son couple.
On observe, blasee :
- J’ai courbe ascendante des divorces
- Mes etudes sur la nature polygame/poly-amoureuse de l’etre humain
- Nos histoires passees/brisees/ oubliees ( ?)
- J’ai disparition des ours blancs (mais ca n’a rien a voir).
Pourtant, on le rencontre. On tombe profondement, irremediablement [croit-on] amoureuse. Et on y croit ! Avec lui, peut-etre… Peut-etre qu’on ne mettra nullement le mot FIN. Peut-etre que c’est le bon. Et il nous le devoile, nous le promet. Il nous susurre qu’il nous kiffera i chaque fois.
Comment s’est-on donc retrouve devant cette vaisselle brisee, les yeux gonfles, le gabarit sur la poitrine ? Pourquoi « meme quand les mecs s’aiment, depuis toujours des problemes ?
*Ecrire avec Manu Chao dans les ecouteurs, en terrasse, au soleil, un sirop sur le coin de table, ca n’a aucune tarifs. *
Peut-on encore sauver notre couple ou faut-il se separer ?